épier

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Palî 1 [Sepe]

épier \e.pje\

  1. dênge mê, bembe
    • L'homme, qui était un garde-côte, comme le faisait voir sa cape d'uniforme, épiait toutes les manœuvres du trois-mâts et semblait en prendre note mentalement. — (Victor HugoLes Travailleurs de la mer , édition de Librairie du Victor Hugo illustré, 1865, partie 1 : Sieur Clubin, livre 5 : Le révolver, chap. 8, lêmbëtï 169)
    • […], et il épiait les faits et gestes énigmatiques des foules dans la rue et des groupes de curieux juchés sur les toits ; […]. — (H. G. Wells, « La Guerre dans les airs » na 1921 , 231)
    • […], j’appris qu’il était d’autres joies que celles d’épier sous un arbre l’approche d’un ramier ou de placer le soir sur un passage dans les taillis d’invisibles lacets. — (Francis CarcoMaman Petitdoigt , La Revue de Paris, 1922)
    • Ainsi, l’une et l’autre nous nous épiions, sous un masque de sourires et malgré des paroles affectueuses. — (Jean RogissartHurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954)
    • (Wapolïpa)[…], mais à Mervale les dix maisons, comme dix vieilles filles revêches, continueraient à s’épier, à s’envier, à s’enfoncer de plus en plus secrètes et solitaires, chaque mois davantage, […]. — (Jean RogissartMervale , 1937, lêmbëtï 16)
    • « Je dois te parler d’une conversation que j’ai pu épier.
      — Comment ça je pue des pieds ? Je les ai lavés ce matin. »
      — (Sacré Robin des Bois , 1993)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Commandant Thomas Grasser, Connaître le sängö , EMSOME, Ministère des Armées, France, juillet 2017 → dîko mbëtï