Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Palî [Sepe]

bivouaquer \bi.vwa.ke\ kürü palî

gue na bärä
- L’armée a bivouaqué trente-cinq jours de suite.
- Ils furent obligés de bivouaquer dans la neige, sur la glace.
- Nous bivouaquâmes en cet endroit, qui nous offroit une position abritée et facile à défendre, en cas de sur prise de la part des Arabes. — (Gratien Lepère, dans Description de l'Égypte, chapitre Mémoire sur la partie occidentale de la province de Bahyreh , 1809, lêmbëtï 14)
- Ce sont les Amérindiens qui ouvrent la route au 43^e régiment et qui montent les cabanes pour bivouaquer. — (Anne-Marie Sicotte, Histoire inédite des Patriotes , Fides, 2016, lêmbëtï 320)
(Mbumbuse, Könöngö) gue na bärä
- Nous n’arrivâmes point le soir à l’auberge, il fallut bivouaquer au milieu des montagnes.
- Ils ont pris la belle habitude, le soir, [...] alors qu’ils vont bientôt s’arrêter pour bivouaquer, ils ont pris l’habitude de s’élancer et de faire la course [...]. — (Laurent Mauvignier, Continuer , Les éditions de minuit, 2016, lêmbëtï 91)

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine