botanique

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botanique \bɔ.ta.nik\ linô gâlï

  1. sêndâsên
    • Seulement, la vie de la plante, considérée relativement à la production utilisable, ne forme pas l'objet de la botanique, mais bien de l’agronomie.— (Albert Lévy, « L'actinomètre Arago-Davy : Contribution à l'étude de la maturation des raisins » na Annales agronomiques publiées sous les auspices du Ministère de l'agriculture et du commerce , tome 4, Paris : chez G. Masson, 1878, lêmbëtï 505)
    • Les amateurs, […], ont été longtemps l’aile marchante de notre Société. Leur rôle considérable dans les progrès de la botanique en France a été surtout marqué en floristique et en systématique, ce qui s’explique par les possibilités mêmes de leur activité. — (Bulletin de la Société botanique de France , séance du 8 janvier 1937, tome 84, lêmbëtï 2)
    • Dans un premier chapitre, il est traité de la notion de Botanique et des grandes divisions habituellement reconnues dans cette science. — (Pierre Crété, J.-L. Guignard, Précis de botanique , 1968)
    • La tête en l’air, qui suit à Oxford quelques cours de botanique, se prépare à devenir pasteur quand une chance imprévue s’offre à elle : on lui propose de partir, au titre d’homme de compagnie du capitaine Robert Fitz-Roy, âgé de vingt-six ans et au caractère difficile, pour un très long voyage d’étude. — (Jean d'OrmessonC’est une chose étrange à la fin que le monde , 2010 ISBN 978-2-221-12336-2)
    • Elle se passionnait pour la botanique depuis le jour où, encore petite fille, elle avait vu Joshua Pershore, le jardinier de ses parents, passer des heures à soigner amoureusement ses fleurs et ses légumes. — (Mary Nichols, L’ingénue scandaleuse éditions Harlequin, collection Les Historiques , traduit par Jacques Cézanne, 2009, chapitre 1)

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