cacaoyer
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
cacaoyer \ka.ka.ɔ.je\ linô kôlï
- (Këkë) (Bangë) këkë-kakaöo, ckakaweyêe; Âmângbi tî pöpöködörö: Theobroma cacao (Sterculiaceae)
- Ses fertiles vallées produisent sans culture toutes les plantes les plus précieuses des tropiques, le caféier, l’indigotier, la canne à sucre, le cochenillier, le cacaoyer; ses forêts abondent en arbres des plus utiles essences ; […]. — (C. de Laroche-Héron, « Des travaux dans l’Amérique pour la jonction des deux océans », dans la Revue contemporaine, tome 5, Paris : aux bureaux de la revue, 1852, p. 289 )
- En Côte d’Ivoire, champion mondial de la production de cacao, la déforestation effrénée pour planter des cacaoyers a quasiment fait disparaître les chimpanzés et les éléphants forestiers. — (« Croque, c’est du chocolat » na Le Canard Enchaîné , 4 Ngubê 2018, lêmbëtï 5)
Âkpalêtôngbi[Sepe]
Pasûndâ [Sepe]
cacaoyer \ka.ka.ɔ.je\ linô kôlï
- tî kakaöo
- Cette arrivée en Côte d’Ivoire intervient dans un contexte difficile pour la filière cacaoyère du pays sous l’effet d’une chute du prix des fèves, au plus bas depuis trois ans.— (Franck Stassi, « L’Organisation internationale du cacao déménage enfin en Côte d’Ivoire » na L’Usine nouvelle , 22 Mbängü 2017 → dîko mbëtï)