déraison
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
déraison \de.ʁɛ.zɔ̃\ linô gâlï
- gbôgbôlinda
- Pathétique Vertu qui argumente et, dans sa naïveté, va jusqu'à opposer à la mort la parole d'un philosophe, comme si la raison pouvait lui dicter sa conduite, à elle qui est liberté entière parce qu'elle est entière déraison. C'est l'homme face à l'absurde. — (Christine Martineau-Génieys, Le thème de la mort dans la poésie française de 1450-1550 , Champion, 1978, lêmbëtï 336)
- Chevallier, décidément, était et agissait en pleine déraison. Malgré son intelligence qui lui disait de rentrer pour affronter lʼadversité, il fit tout le contraire. — (Fabienne Delalande, « Saga des temps modernes » na vol. 11 :Des clopinettes pour un gougnafier , Château-Thierry : Éditions Fabienne Delalande, s.d., lêmbëtï 155)
- Dans la première partie de ce livre, je me suis livré à la critique de ces déraisons qui enferment l'homme dans sa solitude et qui le condamnent à l'effritement du sens de sa vie. — (Vincent Triest, Plus est en l'homme: le personnalisme vécu comme humanisme radical , éd. Peter Lang, 2000, lêmbëtï 73)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine