malice
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
malice \ma.lis\ linô gâlï
- mbänä
- Il a un fonds de malice.
- Il a fait cela par malice, par pure malice.
- La malice de ses discours n’épargne personne.
- ...
- La malice du péché.
- Entendre malice à quelque chose, Y donner un sens détourné, un sens malin.
- Il entend malice aux propos les plus simples.
- (Ngbêne) ...
- On sait toutes les malices dont il est capable.
- C’est une malice noire, qui mérite châtiment.
- Les bons facteurs entrent dans les cuisines, ils disent : « C’est le facteur » et les filles sont délivrées de malice. C’est parce qu’ils font bien leur métier. — (Marcel Aymé, La Jument verte , Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 216)
- sêngëngö,sêlöngö
- Il s’est tiré de ce mauvais pas avec malice.
- Il a mené cette affaire avec malice.
- Il a fait une réponse pleine de malice.
- C'était un vieil artiste de la vigne, un virtuose du cépage. Il portait sur ses traits la marque de ses dons : le nez était celui d'un dégustateur à papilles affinées, l'œil portait en son coin des sillons délicats burinés par le soleil, l'application au travail et la malice du jugement. — (Maurice Bedel, Le mariage des couleurs , 1951, I, 2)
- ...
- Il y a de la malice dans sa physionomie, dans son regard, dans son sourire.
- (Könöngö, Ngbêne) ...
- M. Paul, que cette malice cousue de fil blanc laissait insensible, sourit, hocha la tête, plissa drôlement son petit œil et répondit : […]. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
- Ne vous fâchez pas : c’est une malice qu’on vous a faite.
- Une malice sans méchanceté.
- Il nous a dit mille malices fort spirituelles.
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï