orphelin
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
orphelin \ɔʁ.fə.lɛ̃\ linô kôlï
- nyïndû
- Je ne puis voir un pauvre sans lui donner ma bourse. J’ai doté des orphelines, établi des jeunes gens méritants, nourri des vieillards, fondé des hospices. — (Octave Mirbeau, La Chanson de Carmen , 1990)
- (Zäzämä) Défendre la veuve et l’orphelin, défendre les faibles et les opprimés.
- On y vend les orphelins : rassurez- vous, ce ne sont que des cigarettes éteintes. — (Marcel Schwob, « Notes sur Paris » na Œuvres , Phébus « Libretto », 2002, lêmbëtï 852)
- Un ramasseur d’orphelins cueillait sa provision de mégots dans le caniveau. — (Claude Izner, Mystère rue des Saints-Pères , chapitre IX, page 158. Éditions 10/18, collection « Grands détectives » no 3505, 2003.)
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï