paralysie

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

paralysie \pa.ʁa.li.zi\ linô gâlï

  1. (Sêndânganga) zënngö
    • Puis, vers la fin de cette année, le bonhomme fut enfin, à l’âge de quatre-vingt-deux ans, pris par une paralysie qui fit de rapides progrès. — (Honoré de BalzacEugénie Grandet , 1834 ; édition Houssiaux de 1855, âlêmbëtï 343)
    • J'ai souvenance du cas d'un de mes camarades d'étude, qui, à l'âge de 18 ans, racolé un soir sur nos grands boulevards par une professionnelle, contracta d'elle la syphilis et mourut dix ans plus tard d'une paralysie générale due à cette infection. — (« Préface » na Albert Sézary, Les maladies vénériennes , Éditions Armand Colin, 1951)
    • Marcoul reposait de si étrange façon qu'elle courut chercher l’officier de santé au village, mais c'était vain de lui poser des sangsues derrières les oreilles et de lui inciser les lobes : la paralysie avait envahi les deux cotés du corps. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • En août, Proust apprend le suicide par pendaison, à Londres, d'Emmanuel Bibesco qui souffrait de paralysie faciale. — (Cyril Grunspan, Marcel Proust: Tout dire , Portaparole, 2005, lêmbëtï 67)

Âlïndïpa[Sepe]