patrie
Apparence
Pandôo
[Sepe]patrie \pa.tʁi\ linô gâlï
- ködörö
- […] le comte d'Artois, le prince de Condé, et les Polignac sortaient de France pour aller demander à l'étranger non-seulement un asile, mais des secours contre la révolution. C'était les premiers de émigrés qui bientôt vont allumer la guerre civile dans leur patrie et former contre elle une coalition européenne. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
- …ce qui nous répugne c’est l’idée de Patrie qui est vraiment le concept le plus bestial, le moins philosophique dans lequel on essaie de faire entrer notre esprit. — (André Breton, La Révolution d’abord et toujours , 1921)
- On croit mourir pour la patrie, et on crève pour des combines de mercantis, prompts à engraisser, à travers tous les charniers, leurs dividendes. — (Victor Margueritte, Debout les vivants ! , 1932)
- Ma patrie, je le sentais au fond de moi, comme une grande chose douce qui n’avait besoin pour durer de la mort de personne. — (Jean Guéhenno, Journal d’un homme de 40 ans , Grasset, 1934, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 176)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine