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raclée

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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raclée \ʁɑ.kle\ linô gâlï

  1. (Tî halëzo) pîka tî ngbö
    • Un apprenti essaye de communiquer une raclée à son bourgeois, c’est bien : s’il est le plus faible, il la reçoit ; s’il est le plus fort, il la donne. — (Eugène SueLes Mystères de Paris , 1843)
    • S’attendant à la paire de claques, prélude de la raclée, l’avant-bras déjà presque levé pour la parade habituelle, Camus en demeura un instant muet de stupéfaction. — (« L’Argument décisif » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Il m'avait fait physiquement mal à plusieurs reprises et, s'il ne m'avait jamais donné une raclée en bonne et due forme, je savais qu'il en était capable. J'appris rapidement à refouler mes émotions et à faire ce qu'il me disait. — (Taylor Edison, Ils ont fait de moi leur jouet , gbïänngö tî Hélène Tordo, City Edition, 2018, chap. 6)
    • Qu’est-ce que vous lui disiez ? demanda Macomber.
      — Rien. Lui ai dit de se remuer, sans ça je veillerais à lui en faire avoir une quinzaine, et bien soignés.
      — Quoi donc, des coups de fouet ?
      — C’est parfaitement illégal, dit Wilson. On est supposé leur donner des amendes.
      — Vous les faites encore fouetter ?
      — Oh oui. Ils pourraient faire du raffut s’ils voulaient se plaindre. Mais ils n’y tiennent pas. Ils aiment mieux ça que les amendes.
      — Comme c’est bizarre ! fit Macomber.
      — Pas bizarre, en réalité, dit Wilson. Qu’est-ce que vous aimeriez plutôt ? Recevoir une bonne raclée ou y laisser votre paie ?
      — (Ernest HemingwayL’Heure triomphale de Francis Macomber , 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001., âlêmbëtï 47-48)

Âlïndïpa

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