école

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Une école communale.

école \e.kɔl\ linô gâlï

  1. dambëtï
    • Comme dans les prépas scientifiques, il est tout à fait possible de la redoubler (on dit « cuber ») en espérant être accepté dans une école plus prestigieuse. — (Philippe Mandry, Bien choisir son école de commerce et sa filière d'économie-gestion à la fac , Éditions l’Étudiant, 2007, lêmbëtï 20)
    • […], il semble que l’on assiste à une recrudescence et un « durcissement » des bizutages, en médecine, mais plus encore dans les classes préparatoires, les écoles d’ingénieurs ou de commerce, et les IUT. — (« Le baptême, chapitre 3 de L’« esprit de corps » : Sexe et mort dans la formation des internes en médecine » na Emmanuelle Godeau, Ethnologie de la France , Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2007, nömörö 29, lêmbëtï 95)
  2. (Mbîrîmbîrî nî) likôlo
    • À l’époque dont je parle, il y avait un grand nombre de communes en France qui n’avaient pas d’écoles, et parmi celles qui existaient, il s’en trouvait qui étaient dirigées par des maîtres qui, pour une raison ou pour une autre, parce qu’ils ne savaient rien, ou bien parce qu’ils avaient autre chose à faire, ne donnaient aucun enseignement aux enfants qu’on leur confiait. — (Hector MalotSans famille , 1878)
    • Sans compter que, dans le pays où la chose s’est passée, il y a deux écoles de garçons : une laïque et une congréganiste. — (Émile-Ambroise ThirionLa Politique au village , Fischbacher, 1896, lêmbëtï 225)
    • À l’école, on lui avait enseigné, avec le calcul, les éléments du dessin, et il en savait assez pour se débrouiller en géométrie. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 151)
    • […], on avait établi, dans toutes les rues en pente avoisinant l’école, de superbes glissades. […]. Mais la plus belle était celle de devant la cour où, selon une coutume immémoriale, on allait « luger » à toutes les sorties. — (Louis Pergaud, « Deux Veinards » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l’école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï