écolière
Apparence
Pandôo
[Sepe]écolière \e.kɔ.ljɛʁ\
- nyîlikôlo-wâlï
- Je me souviens des retours d’école en courant, de socquettes d’écolière tombant sur les chevilles, du cartable qui saute dans le dos, la perspective heureuse d’un bon goûter après une ennuyeuse journée de classe. — (Pam Brown & Juliette Clarke, Pour une Maman Extraordinaire , Éditions Exley, 2005, lêmbëtï 15 → dîko mbëtï)
- Mais une demi-heure plus tard en se rendant chez miss Hartill pour lui faire ses excuses tardives, elle devait aussi éprouver les sentiments d’une écolière désobéissante plus qu’il ne convient à une maîtresses qui a six semaines d’ancienneté et se demander avec inquiétude ce qu’elle dirait, comment elle le dirait, et pourquoi diable elle a avait la bêtise de se fourrer dans se pétrin. Si au moins il ne s’agissait pas de miss Hartill ! Elle n’avait pas échangé cinq paroles avec elle, mais on l’avait décrite devant elle de tous les points de vue imaginables et inimaginables et avec cette profusion d’anecdotes dont seule est capable une mémoire d’écolière, enrichie par la tradition aussi bien que par les souvenirs personnels. — (Clemence Dane, Régiment de femmes , gbïänngö tî Jeanne Fournier-Pargoire, Place des éditeurs, 2014, lêmbëtï 21 → dîko mbëtï)
- Elle rentre à l’instant, son cartable à la main telle une écolière, mais l’écolière est écrivain et son lycée un café de quartier tout proche, tranquille et secret. Là, Nathalie Sarraute — c’est elle, l’écolière, quatre-vingt-neuf ans — s’installe encore devant ses pages blanches et travaille à ses romans — (Jacques Chancel, Le désordre et la vie , Grasset, 2014, lêmbëtï 240 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine