épars
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pasûndâ [Sepe]
épars \e.paʁ\
- gbärängö
- Sur le bord de ces rivières qui se versent dans ce lac, on trouve en quantité du cuivre natif épars çà et là sur le rivage. — (Aventures de Carver chez les sauvages de l'Amérique septentrionale , Tours:Alfred Mame & Cie, 1845, lêmbëtï 107)
- Le 16 mai, nous sortîmes d’Héraclée, suivant au sud-est une voie ancienne, qu’indiquaient ses pavés épars et l’égalité du terrain. — (Eugène Boré, Correspondance et Mémoires d'un Voyageur en Orient , tome 1, Paris : chez Olivier-Fulgence, 1840, lêmbëtï 213)
- Nous étions au bout d’un vague chemin de cailloux de plus en plus épars. — (François Lavallée, L’homme qui fuyait , Guy Saint-Jean éditeur, Montréal, 2013, lêmbëtï 241)
- Or, peuple, roi, conspirateurs sont unis par une même et vaste haine éparse ; prêts à se déchirer, ils lèvent les yeux sur la flamboyante figure qui plane sur le Louvre, sur Paris, sur le royaume. — (Michel Zévaco, « Le Capitan » na 1907 , I)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine