éteindre
Apparence
Palî
[Sepe]éteindre \e.tɛ̃dʁ\
- mîngo
- Heureusement, bientôt après, il plut à seaux, ce qui donna la facilité d’éteindre par-tout les flammes. — (Isaac Weld, Voyage au Canada, pendant les années 1795, 1796 et 1797 , traduit de l'anglais, Paris : Imprimerie Munier & cher Lepetit jeune, an VIII, tome 1, lêmbëtï 187)
- Si donc, dans ces conditions, on veut mécher le tonneau, celui-ci ne contenant plus assez d’oxygène dans l'air qu'il renferme, ne pourra entretenir la combustion du soufre, et la mèche s’éteindra dès qu'elle sera introduite. — (Claude Ladrey, L'art de faire le vin , 1863, lêmbëtï 217)
- Vers trois heures, un adjudant passe pour faire éteindre les feux inutiles. A Paris l'on éteint en ce moment un bec de gaz sur deux, mais nous n'obéissons pas; …. — (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
- Vers 1 heure du matin, je remarque que mon feu rouge de babord est éteint. Je descends le fanal dans le poste pour le rallumer, […]. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
- wôko
- Éteindre des couleurs trop éclatantes dans un tableau.
- Des couleurs éteintes.
- Éteindre son style.
- La souffrance, la tristesse avait éteint l’éclat de ses yeux, la vivacité de ses regards.
- Un homme éteint.
- Un génie éteint.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï