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accabler

Alöndö na Wiktionary

Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Palî

[Sepe]

accabler \a.kɑ.ble\ palî tî mbenze

  1. (Könöngö) bi vundü
    • L’esprit infatigable soutient le corps surmené ; il le relève, défaillant. Loin d’être accablé, écrasé par les besognes du présent, aux courtes heures du repos, il conçoit avec une lucidité merveilleuse les besognes de l’avenir. — (Octave MirbeauLa Mort de Balzac , 1907)
    • Il portait un fardeau qui l’accablait, dont il était accablé.
  2. (Zäzämä) wôko
    • Il vit, non loin du grand chemin, une femme éplorée […], et un homme furieux qui la suivait. […]. Cet homme l’accablait de coups et de reproches. — (VoltaireZadig ou la Destinée , 1748)
    • Des impôts considérables accablaient les vilains, écrasait les pauvres gens, épargnant les princes et les ducs, les comtes et les marquis. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
    • Les paysans du Lot, il y a vingt ans, étaient misérables, accablés par les hypothèques dont une prospérité relative, survenue à la suite de la guerre, les libéra. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • On chercha, dans le Midi, à les déposséder des biens immeubles qu’ils détenaient […]. La tactique consistait à les accabler d’impôts exorbitants et à en poursuivre le recouvrement d’une manière impitoyable. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Sa tactique fut de dépopulariser Barère, l'ancien feuillant. Il s'acharna sur le triumvirat auquel il était lié, l’accablant, chaque jour, des mêmes malédictions. — (Fernand Mitton, « La Presse française » na Paris : chez Guy Le Prat, 1945 , volume 2 : sous la Révolution, le Consulat, l'Empire, lêmbëtï 173)

Âlïndïpa

[Sepe]