accoter

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Palî [Sepe]

accoter \a.kɔ.te\ palî tî mbenze

  1. kalêe
    • Il faut accoter ce pot, de peur qu’il ne tombe.
    • Accoter les roues d’une charrette.
    • Le rêve de l’écrivain était de travailler dans une tour. On lui construisit donc une tour, accotée au corps de la maison. — (Julien Green, « Nathaniel Hawthorne » na Suite anglaise , 1927, Le Livre de Poche, lêmbëtï 124)
      • Mais il est grand, sec, droit sous son sayon jaunâtre moins poilu que sa poitrine, et un peintre ne dédaignerait pas d’en saisir la silhouette, lorsque, coiffé d’un chapeau de sparterie, vrai bouchon de paille, il s’accote sur son bâton à bec de corbin, aussi immobile qu’un roc. — (Jules VerneLe Château des Carpathes , J. Hetzel et Compagnie, 1892, âlêmbëtï 1-16)
      • Comme le lieutenant le lui avait ordonné, il se rendit sur la galerie et s’accota solidement contre la balustrade, […] — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 230)
      • […] ; puis il céda à l’aphasie, s’accota au placard, les bras collés aux cuisses, image vivante de l’animal assailli par un invincible ahurissement. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930)
      • Il avait été pris encore de malaises atroces dans la rue, avait cru mourir sur place, avait plus particulièrement ressenti une sensation d’étouffement, une douleur aiguë torturante au niveau du cœur, avait dû s’accoter contre le mur d’une maison pour ne pas s’effondrer sur le sol et après un grand moment d’angoisse, avait réussi à se traîner jusqu’à la première station de taxis, ou même, quand il n’en avait pas eu la force, à alerter un passant. — (Raymond GuérinQuand vient la fin , Gallimard, Paris, 1941)
      • Voilà pourquoi, cette nuit, accoté dans une encoignure, j’attendais.— (Léo MaletLes rats de Montsouris , Robert Laffont, Paris, 1955)

Âlïndïpa[Sepe]