alanguir
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Palî [Sepe]
alanguir \a.lɑ̃.ɡiʁ\ palî tî mbenze
- wôko
- [… ], il était facile de voir que nulle souffrance n'alourdissait comme autrefois ses moindres mouvements, n'alanguissait ni ses regards, ni ses paroles, ni ses gestes. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1855)
- Il sentait tout l'infini, tout l'imprécis de cet horizon entrer en lui, le pénétrer, alanguir son âme et comme l'embrumer, elle aussi, de vague et d'indicible. — (Isabelle Eberhardt, Le Major , 1903)
- Parfois même, elle restait seule ici, s’asseyait à portée de ses traits, et la crainte fictive de la blessure de l’enfant pubère l’alanguissait de longues heures durant. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc , Calmann-Lévy, 1920, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 21)
- Un vent chaud soufflait qui alanguissait le corps et l'âme. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira » na "Trois contes de l'Amour et de la Mort" , 1940)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine