alcoolisme

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alcoolisme \al.kɔ.lism\ linô kôlï

  1. nyöngö-sämba
    • Et maintenant, […], convient-il ici de rattacher l’étude de la tuberculose à la lutte contre l’alcoolisme ? Oui, assurément, car, si l’alcoolisme n’est pas l’unique facteur de la tuberculose, il est cependant l’un de ces facteurs et peut-être le plus agissant de tous. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • La justice française vient de trancher : des commerciaux de la société Ricard ont le droit de se plaindre de l’alcoolisme consubstantiel à l'exercice de leur métier. — (Renaud Lecadre, « Chez Ricard, la révolte des saouls fifres » na Libération , 18 Lengua 2011, lêmbëtï 15)
    • En 1849, le Suédois Magnus Huss a introduit la notion d’alcoolisme dans le langage médical en décrivant le tableau de la maladie. — (Addiction Suisse, « L’alcool dans notre société – hier et aujourd’hui » na www.addictionsuisse.ch , s.d.)
    • On recommanda bien à cette femme, une fois de plus, de quitter son compagnon, qui en dehors de son alcoolisme et de sa brutalité, n’était de toutes façons qu’un bon à rien, incapable de garder un travail fixe bien longtemps. — (Sonia de Braco, Ces foutues bonnes femmes , lulu.com, 2008, lêmbëtï 46)
    • Si le mot « alcoolisme » est la définition « usuelle », le terme « œnolisme » est une expression plus médicale et assez élégante, mais à la campagne, on appelle ça tout bonnement « l’ivrognerie ».
      Voilà un mot qui dit ce qu’il veut dire !
      — (Michel Petit, Taote Fetiʻi, un médecin de famille à Tahiti , Éditions Publibook, 2012, lêmbëtï 92)

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