apaiser
Apparence
Palî
[Sepe]apaiser \a.pe.ze\ wala \a.pɛ.ze\
- kâi
- Le fracas de l’orchestre leur arrivait, assourdissant. Par instants, les violons dominaient le vacarme qu’ils semblaient apaiser, caresser, contenir, mais le saxo, le piston, la clarinette et surtout la trompette […] se mettaient ensemble à mugir et à pétarader de telle sorte que personne ne parlait plus. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
- Apaiser une personne furieuse.
- Cet enfant ne cesse de crier, apaisez-le.
- Apaiser une sédition.
- La mer s’apaise.
- Sa douleur, sa colère commence à s’apaiser. (Wapolïpa)
- nzere na,kâi
- Lorsque le flacon fut épuisé, Cogolin constata que faim et soif étaient enfin à peu près apaisées, mais que, de son écu, il ne lui restait plus que deux sols et trois deniers. — (Michel Zévaco, Le Capitan , 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire », 1907, no 31)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï