appel
Yângâ tî Afrikaans[Sepe]
Pandôo [Sepe]
appel \ˈa.pəl\
Yângâ tî Angelë[Sepe]
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
appel \a.pɛl\ linô kôlï
- irä
- — Reviens, reviens, criaient les camarades ; reviens vite ! Lebrac, aux trois quarts enlisé, céda à leurs appels et voulut tourner bride. — (Louis Pergaud, « Un sauvetage », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- En contrebas du hameau, une voix féminine a retenti : “Plume !” Obéissant à l’appel de sa propriétaire, la chienne est repartie fissa. Mais nous avions un nom. — (Martin Duru, « Carnet de la drôle de guerre », dans la newsletter du 25/03/220 de Philosophie Magazine.)
- ïrïngö-ndo
- Je fais un appel à votre générosité.
- L’appel du pouvoir corrompt tout.
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Yângâ tî Frison[Sepe]
Pandôo [Sepe]
appel \ˈapəl\
- (Lêkëkë) pôme