Yângâ tî Farânzi

Pandôo

asphyxie \as.fik.si\ linô gâlï

(Sêndânganga) fängö-mbö
- Il était là, allongé, non pas serein, comme Kyo, avant de se tuer, avait pensé qu’il deviendrait, mais convulsé par l’asphyxie, déjà autre chose qu’un homme. — (André Malraux, La Condition humaine , 1946, réédition Folio Plus Classiques, 2019, lêmbëtï 299)
- J'essayais, en contractant le gosier, d'absorber le moins possible d'eau et de résister à l'asphyxie en retenant le plus longtemps que je pouvais l'air dans mes poumons. Mais je ne pus tenir plus de quelques instants. — (Henri Alleg, La Question , 1957)

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine