assassin
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
assassin \a.sa.sɛ̃\ linô kôlï
- wahöngö-zo, wafängö-zo
- Le chevalier d’industrie, la fille de joie, le voleur, le brigand, et l’assassin, le joueur, le bohème sont immoraux, et le brave bourgeois éprouve à l’égard de ces « gens sans mœurs » la plus vive répulsion. — (Max Stirner, Le Stirnérisme , Émile Armand, 1934)
- Les foules annamites endureront-elles longtemps les assassins payés par la Démocratie ? — (Paul Nizan, Les Chiens de garde , 1932)
- Qu’il est joli garçon l’assassin de papa ! — (Georges Fourest, La Négresse blonde , 1909)
- Il était question dans la complainte d’un assassin qui expose aux juges les raisons qui l’ont poussé à tuer sa maîtresse. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
- L’assassin a été pris.
- On a poursuivi les assassins.
- Il est tombé sous les coups d’un assassin.|
- Il a été blessé par un assassin.
- Crier à l’assassin.
Pasûndâ [Sepe]
assassin \a.sa.sɛ̃\ linô kôlï
- (Pagao) tî gïngö-tënë
- Un fer assassin.
- En gouvernant bien ma barque,
Je veux que l’affreuse Parque
De la liste me démarque,
Et laisse là mon fuseau ;
Fuyant de la médecine
La dégoûtante cuisine,
Et la science assassine,
Je braverai le tombeau. — (« Air des trembleurs, Le Chansonnier de Momus » na André de Champcour, Nargue_du_Chagrin , 1823)
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï