assombrir

Yângâ tî Farânzi

Palî

assombrir \a.sɔ̃.bʁiʁ\ palî tî mbenze

1. vûko
   • Ces arbres assombrissent notre maison. Les malheurs ont assombri son caractère.
2. (Wapolïpa) vûko
   • Le ciel, très chargé, s’assombrissait de plus en plus. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et C^ie, 1873)
   • Le soleil était couché depuis quelques instants, le ciel perdait peu à peu sa teinte pourprée et s’assombrissait de plus en plus, […]. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
   • Et il s’engagea dans le couloir, qui allait toujours s’assombrissant. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , C. Lévy, 1886, I/V)
   • Partie de la trop aimable idylle florianesque, son histoire d’amour peu à peu s’était assombrie jusqu’à prendre les couleurs arrières du roman flaubertien, qui dit l’universelle maldonne. — (Philippe Berthier, Figures du fantasme: un parcours dix-neuviémiste , Presses Universitaires du Mirail, 1992, lêmbëtï 164)

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine