assoupir
Apparence
Palî
[Sepe]assoupir \a.su.piʁ\ palî tî mbenze
- wôko
- Les quelques verres de laffitte, que j'avais bu à petits coups, avaient eu l'effet de m'assoupir, et je sentis l'envie de faire une sieste de quinze ou vingt minutes, comme c'est ma coutume après le dîner. — (Edgar Allan Poe, « L'Ange du bizarre » na Histoires grotesques et sérieuses , gbïänngö tî Charles Baudelaire)
- La campagne s’assoupissait déjà dans ce beau silence des nuits d’été. — (Gustave Flaubert na Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne) , 1886, Le Livre de poche, 2012, lêmbëtï 174)
- Parfois elle restait de longues minutes sans parler, soit qu’entre ses longs doigts minces, elle égrenât son chapelet, soit qu’elle s’assoupît, mais d’un sommeil si léger qu’au plus faible craquement je voyais ses yeux s’entrouvrir. — (Marcel Arland, Terre natale , 1938, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 29)
- Les fumées du vin l’assoupissent.
- Un discours monotone assoupit ordinairement les auditeurs.
- (Zäzämä, Wapolïpa) kâi
- De la même façon, la France de la Libération s'assoupit comme si rien ne s'était produit entre 1940 et 1944. — (François Mitterrand, Le coup d'État permanent , 1965)
- La douleur va bientôt s’assoupir.
- Avec le temps, les haines s’assoupissent.
- La querelle s’est enfin assoupie.
- Le risque est grand que l'on s'endorme dans le couple, que la relation s'assoupisse. — (Robert Henckes, Au rendez-vous de Cana , éditions Fidélité, Namur, 1999, lêmbëtï 62)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine