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avarice

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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avarice \a.va.ʁis\ linô gâlï

  1. kïön
    • Il se refuse tout, il se prive de tout, par pure avarice.
    • Son avarice le fait vivre d’une manière sordide.
    • Sur les six mille francs de bijoux, à peine deux cents étaient dépensés, et il en gardait cent, pour aller jusqu’à la fin du mois, avec la stricte économie, l’avarice noire qu’il montrait désormais. — (Émile ZolaLe Docteur Pascal , G. Charpentier, 1893, chapitre XI)
    • Et l’avarice, considérée comme un péché par l’Église catholique, est devenue le signe d’une défense intelligente contre la surconsommation. — (Alain Rey, « Les radins savent gérer leur argent » na 60 millions de consommateurs , hors-série n° 151, octobre-novembre 2010)
    • Mon grand-père n’avait jamais su compter : prodigue par insouciance, généreux par ostentation, il finit par tomber, beaucoup plus tard, dans cette maladie des octogénaires, l’avarice, effet de l’impotence et de la peur de mourir. — (Jean-Paul SartreLes Mots , 1964, I)

Âlïndïpa

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