bannir
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Palî [Sepe]
bannir \ba.niʁ\ palî tî mbenze
- (Könöngö) tumba
- Remplacez encore l’outremer par le bleu de Thénard n.° 19, mais bannissez le bleu de Prusse lorsque vous achevez les chairs; il est trop acre, et il change toujours davantage en vieillissant, […]. — (Pierre Louis Bouvier, Manuel des jeunes artistes et amateurs en peinture , Paris : Alph. Giroux, 1832, lêmbëtï 36)
- […] mais, comme on n’avait jamais eu en mains de preuves palpables, on ne pouvait bannir des jeux quotidiens, ni mettre en quarantaine les deux traîtres présumés, […]. — (Louis Pergaud, « Deux Veinards » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- C’est un fripon que l’on a banni de toutes les maisons honnêtes.
- Il a banni de son ouvrage les expressions trop techniques.
- Cette contrainte bannirait tout agrément de notre société.
- Se bannir d’un lieu, d’une maison, d’une société, Cesser ou s’abstenir d’y aller, quoique à regret.
- vûnga na "ban"
- Surpris que Pennec eût tant d’argent, je fis bannir (publier) sur la croix : mais personne ne se plaignit d’avoir perdu ou d’avoir été volé. — (Stendhal, Mémoires d’un touriste , t. 2, 1838, lêmbëtï 41)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine