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banquier

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo 1

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banquier \bɑ̃.kje\ linô kôlï

  1. (Gbätä) wabânge
    • La vie laborieuse, active, tout estimable, toute positive, d’un conseiller d’État, d’un manufacturier de tissus de coton ou d’un banquier fort alerte pour les emprunts, est récompensée par des millions, et non par des sensations tendres. — (StendhalDe l’Amour , 1822, 1ère préface de 1826)
    • Il est expliqué plus bas que le scandale n'est qu'un mot, qu’on fait naitre la chose selon les besoins et les circonstances et que le plus scandaleux n’est point que tel banquier couche, un beau jour à la Santé, mais que tant d’autres dorment paisibles dans leurs draps. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 173)
    • À New-York, les banquiers étaient réunis. « Grand était leur trouble et longues les cendres de leurs cigares, » écrit "Time", revue jeune, impertinente, brillante. — (André MauroisChantiers américains , 1933)
    • Le banquier peut opter inconditionnellement entre la contre-passation et l'action cambiaire, et cela même en cas de faillite de son client. — (Jean Brunelat, La protection du banquier en cas de faillite du remettant en compte courant , Éditions Sirey, 1964, lêmbëtï 218)

Âlïndïpa

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