bas-côté
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
bas-côté \bɑ.ko.te\ linô kôlï
- (Sêndâkodë-da) lêgë tî gerê
- (Lâkûê) ...
- Puis, apercevant, sur le sentier du bas-côté, un caillou dont l’aspect lui convint, il le ramassa et le mit dans sa poche. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 381)
- Enfin on peut de même, semble-t-il, rattacher à la prairie à Agrostis la végétation des bas-côtés des routes à leur traversée de nos forêts humides […]. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne , thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, âlêmbëtï 97 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine