belle
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Lêpa tî pasûndâ [Sepe]
belle \bɛl\
Pandôo [Sepe]
belle \bɛl\ linô gâlï
- (Mbîrîmbîrî nî) ...
- Un grand jeune blondin, que je me souviens de n’avoir point vu durant l’éclipse de la belle, rentra en catimini. — (Restif de la Bretonne, Le Paysan et la paysanne pervertis)
- Non, non, la constance n’est bonne que pour des ridicules ; toutes les belles ont droit de nous charmer, et l’avantage d’être rencontrée la première ne doit pas dérober aux autres les justes prétentions qu’elles ont toutes sur nos cœurs. — (Molière, Dom Juan ou le Festin de pierre , acte I, scène II)
- Il était aux pieds de sa belle : De sa maîtresse.
- On l’emploie quelquefois avec une sorte d’ironie.
- La belle ne se doutait guère du tour qu’on lui jouait.
- Faire la belle : Se rengorger, se pavaner, laisser voir qu’on se croit belle.
- ...
- […], des joueurs de flipper qui tiltaient, et qui poussaient des grognements, en bousculant fiévreusement le flipper, des joueurs de baby qui rejouaient la belle, pour la centième fois. — (Louis Nicoletto, Une petite Mouche noire , TheBookEdition, lêmbëtï 52)
- (Ngbêne, Mbäkôro) (Gbâmangbôkô) ...
- ...
- Malgré tout, je ne cessais de penser à la Belle.
… Quelle Belle ?
— La liberté, pardi ! C’est ainsi qu’on la nomme là-bas.
— (Albert Londres, L’Homme qui s’évada , p. 38, Les éditions de France, 1928)
- Malgré tout, je ne cessais de penser à la Belle.
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine