belle-mère
Apparence
Pandôo
[Sepe]belle-mère \bɛl mɛʁ\ linô gâlï
- (Sëwä) wôgarä
- « Pour se rendre compte de ce que sera sa femme plus tard, il suffit de regarder sa belle-mère », disait mon père. — (Paul Guth, Le mariage du Naïf , 1957, réédition Le Livre de Poche, âlêmbëtï 25-26)
- Son amie Alissa a, elle, depuis plus de quinze ans, et ce en dépit de la présence constante d'une belle-mère insomniaque, une sexualité épanouie avec son mari : le couple se réfugie dans la nature en été et, en hiver chez des amis […]. — (Irène Commeau, « Cosmopolitan : le magazine des femmes russes qui veulent réussir » na Le nouveau paysage médiatique à l'Est , L'Autre Europe n° 32-33, Éditions L’Age d’Homme, 1996, lêmbëtï 95)
- Pendant toute la période des fiançailles, le futur gendre va, pour manifester sa bonne volonté au travail et rendre service à sa belle-mère, régulièrement approvisionner la maison de ses beaux-parents en bois de feu. — (Paulette Roulon-Doko, Cuisine et nourriture chez les Gbaya de Centrafrique , L’Harmattan, 2001, lêmbëtï 40)
- Fait curieux, la belle-mère ne renchérit pas. Dans la querelle familiale, elle pencherait au contraire pour la gendresse. — (Michel Jeury, Les beaux jours du Docteur Nicolas , Robert Laffont, 2010, chap. 7)
- lamôroke
- Mon père, chauffeur routier, conduisait à cette époque un gros cul (un camion citerne), avec, à l’arrière, une belle-mère (une remorque.)— (Paola Rise, Cette maman-là , 2005 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine