bien-être
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
bien-être \bjɛ̃.n‿ɛtʁ\ linô kôlï
- nzönî dutï
- Dés qu’il se sentit à couvert, il ralentit sa marche. Il était alors dans l’allée verte qui longe la muraille, derrière les planches. Là, il n’entendit même plus le bruit de ses pas ; l’herbe gelée craquait à peine sous ses pieds. Un sentiment de bien-être parut s’emparer de lui. Il devait aimer ce lieu, n’y craindre aucun danger, n’y rien venir chercher que de doux et de bon — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre I ; réédition 1879, âlêmbëtï 9-10)
- La torpeur qui paralysait son cerveau lui procurait trop de bien-être pour qu’il tentât de la chasser. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine