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bitume

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

[Sepe]

bitume \bi.tym\ linô kôlï

  1. godoröo
    • Le bitume libre qu’on ajoute est évidemment absorbé par celui déjà logé dans les pores du calcaire ; véhiculé par lui, il pénètre jusque dans les plus intimes cavités de l’asphalte, comme une goutte d’huile suit le chemin tracé par une autre goutte ; mais on ne saurait prétendre que le bitume libre apporte avec lui des propriétés nouvelles ; ses fonctions sont purement accessoires ; il aide à la fusion de la roche ; il supplée aux huiles imprégnantes perdues par l’évaporation, il prépare la pâte pour la trituration et la cuisson, comme la salive, si l’on veut nous permettre cette comparaison, humecte les aliments, les dispose pour la mastication et favorise leur transformation. — (Léon Malo, « N° 4 : Note sur l’asphalte » na Annales des ponts et chaussées : Mémoires et documents relatifs à l’art des constructions et au service de l’ingénieur , 4e série, Dunod, Éditeur, Paris, 1861, tome I)
    • À l’inverse, des trafics lourds et lents ainsi que des hautes températures peuvent nécessiter l’emploi de bitumes durs qui rigidifient l’enrobé et diminuent ainsi les problèmes d’orniérage. — (coordonné par Philippe Coussot et Jean-Louis Grossiord, Comprendre la rhéologie : De la circulation du sang à la prise du béton , EDP Sciences, 2012, lêmbëtï 187)
    • Le pétrole, l’asphalte et le naphte sont des variétés de bitume.
  2. (Mbîrîmbîrî nî) godoröo
    • L’étanchéité d’ouvrages géotechniques peut se réaliser sur un chantier par la pose d’une couche étanche de bitume modifié sur un textile ou un sol d’assise. — (André L. Rollin, Patrick Pierson, Stéphane Lambert, Géomenbranes : guide de choix , 2002)

Âlïndïpa

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