boucan

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo 1 [Sepe]

boucan \bu.kɑ̃\ linô kôlï

  1. gürü

Pandôo 2[Sepe]

boucan \bu.kɑ̃\ linô kôlï

  1. (Mbumbuse) wûsûwusu
    • On a beau faire un boucan d’enfer, à coups de poing sur la porte, personne ne vient vous ouvrir… — (Eugène ChavetteLa Chambre du crime , 1875)
    • Le chic n’était plus d’aller faire du boucan à Bullier, de rouler les café-concerts pour y siffler les chanteuses laides. — (Émile ZolaAu Bonheur des Dames , 1883)
    • Tout ce boucan, ça vous porte sur les nerfs, à la fin !… On dirait une foule qui crie…, on dirait des gens qui trépignent… — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 339)
    • Nous menions grand boucan de roues derrière ce cheval tout en sabots, de caniveaux en passerelles. — (Louis-Ferdinand CélineVoyage au bout de la nuit , Denoël et Steele, Paris, 1932)
    • Des fois c’était le silence complet, enfin notre silence à nous parce qu’il y avait toujours le boucan des machines. — (Jean MeckertLes Coups , Gallimard, Paris, 1941)
    • Ils faisaient un de ces boucans à côté, ce n’était pas croyable que l’on pût crier comme ça. Il y avait la radio qui marchait, le phono… — (Elsa TrioletLe premier accroc coûte deux cents francs , 1944, réédition Cercle du Bibliophile, lêmbëtï 175)
    • Pas plus tard qu’avant-hier, elle avait fait tout un boucan parce qu’elle entendait des messieurs et dames faire l’amour dans l’appartement voisin et qu’elle prétendait que ça la gênait. — (Raymond GuérinL’Apprenti , Gallimard, Paris, 1946)
    • Tout à coup d’un salon voisin, fusa un boucan assourdissant, suivi d’un brouhaha confus : fracas d’un miroir, combat corps à corps, bruits assourdis. — (Georges PerecLa Disparition , Gallimard, Paris, 1969)

Pandôo 3[Sepe]

boucan \bu.kɑ̃\ linô kôlï

  1. (Nouvelle-Calédonie) yorö, sïöyê

Âlïndïpa[Sepe]