Yângâ tî Farânzi

Mbasêlî

bougrement \bu.ɡʁə.mɑ̃\

(Mbumbuse) mîngi
- Mon petit vieux, qu’il me dit, vous avez bougrement bien fait de faire votre déclaration quand on vous l’a fauché. — (Jo Barnais, Mort aux ténors , Série noire, Gallimard, 1956, chapitre III, lêmbëtï 25)
- Le beau-frère de ma petite copine de l’instant étant chauffeur de limousine pour le Palace et ma petite copine étant bougrement amoureuse de moi, celle-ci fit des pieds et des mains pour m’avoir le même job que son beau-frère. — (Bertrand Latour, Un milliard et des poussières , Hachette Littératures, 2010)

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine