boulanger

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Un boulanger qui met du pain au four. (1)

boulanger \bu.lɑ̃.ʒe\ linô kôlï

  1. (Gbätä) wamâpa
    • Gabelle des boulangers. — Ladite gabelle consiste en ce que tous les boulangers qui vendent pains cuits en la ville doivent 2 deniers par resal de farine ; les déforains, 1 gr. 8 den. par chacune charrette, et 4 den. de chacune charpagnée ou hottée. — (Les archives de Nancy ou documents inédits relatifs à l'histoire de cette ville , publiées par Henri Lepage, volume 3, Nancy, Lucien Wiener, 1865, lêmbëtï 56)
    • Si les corporations exclusivement féminines restent l’exception, les corporations mixtes qui admettent indistinctement les hommes et les femmes sont extrêmement nombreuses. Parmi celles-ci, il faut citer les drapiers, les tisserands, les grainiers (Rouen, Paris), les passementiers (Paris, Tours, Clermont), les cabaretiers (Tours, Orléans), les tonneliers (Nîmes), les tailleurs (Coutances, Angoulême, Dijon), les boulangers (Orléans, Paris), les merciers (Paris, Caen), les poissonniers (Paris, Dijon), les imprimeurs (Paris, Orléans, Caen), les limonadiers (Caen), les maçons (Apt), les corroyeurs (Annonay), les orfèvres (Lyon), les chaudronniers (Orléans), les charcutiers. — (Léon Abensour, La Femme et le Féminisme avant la Révolution , Éditions Ernest Leroux, 1923, Paris, lêmbëtï 186 → dîko mbëtï)
    • Cambronne Mâcheclair plaisanta avec l’une, admira le ti moune de l’autre, et, de palabre en palabre, il apprit que Chimène-Surprise avait regagné son domicile la veille au soir et qu’elle en était repartie presque aussitôt pour une destination inconnue de tous — sauf, probablement, de son bon ami : un boulanger établi dans les beaux quartiers. — (Jypé Carraud, Tim-Tim-Bois-Sec , éditions Payot et Rivages, 1996, collection Rivages/Mystère, lêmbëtï 159)

Âlïndïpa[Sepe]