brigand

Alöndö na Wiktionary

Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

brigand \bʁi.ɡɑ̃\ linô kôlï

  1. waginon}
    • Le chevalier d’industrie, la fille de joie, le voleur, le brigand, et l’assassin, le joueur, le bohème sont immoraux, et le brave bourgeois éprouve à l’égard de ces « gens sans mœurs » la plus vive répulsion. — (Max Stirner, cité dans Le StirnérismeÉmile Armand, 1934)
    • On parla de brigands; les plus poltrons coururent s'enfermer et le plus riches s'empressèrent d'aller vérifier la cachette de leur argent. — (« Zariffa » na Out-el-KouloubTrois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Les Spartiates étaient petits en nombre, grands de cœur, ambitieux et violents ; de fausses lois n'en aurait tiré que de pâles coquins ; Lycurgue en fit d'héroïques brigands. — (Louis ThomasArthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, p.99)
    • « Ah! nous étions, mes frères et moi, du bon sang que la vue du gendarme n'a jamais fait tourner.
      « Sans le gendarme, monsieur, comment vivre puisqu'il y a le brigand ? L'un mange l'autre et tous les deux vous laissent tranquille. »
      — (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 274)
    • Si j'ai le poil couleur de mûron, c'est qu'une arrière-grand’mère a dû au temps de Charles Quint se mal conduire avec un brigand d'Espagne. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa[Sepe]