calepin

Yângâ tî Farânzi

Pandôo

Un petit calepin. (sens 1)

calepin \kal.pɛ̃\ linô kôlï

1. karanëe
   • Le uhlan mettait pied à terre, ouvrait tranquillement une carte ou un calepin, prenait des notes. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre , 86^e éd., Plon-Nourrit & C^ie, lêmbëtï 184)
   • Des employés en casquette écrivaient sur des calepins, à la lueur du gaz. — (Émile Zola, Le Ventre de Paris , 1878)
   • Comme, au sommet, il essaie de noter des indications sur son calepin et éprouve des difficultés à maintenir son équilibre, Arlette, légère, escalade l’autre côté de l’échelle. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts , Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 367)
   • Maillat s’assit, le dos contre l’arbre, et alluma une cigarette. Pierson avait sorti de sa poche un petit calepin noir à élastique qui ne le quittait jamais.
     — Craque une allumette, veux-tu ?
     La flamme, de nouveau, brilla. Pierson griffonna quelque chose sur son carnet, fit claquer l’élastique, remit le carnet dans sa poche. — (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote , 1949, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 147)

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine