cavalerie
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]

cavalerie \ka.val.ʁi\ linô gâlï
- (Sêndâdünîa, Turûgu) gbâmbârâtâ
- Quand la guerre recommença, Charles Mignon obtint de passer dans la cavalerie et perdit alors de vue son camarade. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
- Après Alexandre, on chargea la cavalerie d’armes défensives; on donna aux cavaliers de lourdes cuirasses en écailles, puis des cuissarts et des gantelets, et aux chevaux des frontaux et des garde-flancs. — (Encyclopédie des gens du monde, volume 5, 1835)
- On se bûchera ! reprit Soudry, c’est selon. Si le préfet et le général, qui sont ses amis, envoient un escadron de cavalerie, les paysans ne bûcheront rien… — (Honoré de Balzac, Les Paysans , 1845, deuxième partie, chapitre deuxième)
- Dans leurs rangs éclata une furieuse colère : elles ne se sauvèrent pas, mais se jetèrent sur les cailloux et se mirent à bombarder les crânes de la cavalerie qui avait chargé. — (Tomasz Olszański, Un militant syndicaliste franco-polonais: La vie errante , traduit par Mylène Mihout, p.289, Presses universitaires de Lille, 1993)
- (Zäzämä) zöröndöngö
- Tiens, v’là la cavalerie.
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Rumëen[Sepe]
Pandôo [Sepe]
cavalerie \sêndagô ?\