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cavalerie

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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La cavalerie lors de la bataille d’Hasting (1066). (1)

cavalerie \ka.val.ʁi\ linô gâlï

  1. (Sêndâdünîa, Turûgu) gbâmbârâtâ
    • Quand la guerre recommença, Charles Mignon obtint de passer dans la cavalerie et perdit alors de vue son camarade. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • Après Alexandre, on chargea la cavalerie d’armes défensives; on donna aux cavaliers de lourdes cuirasses en écailles, puis des cuissarts et des gantelets, et aux chevaux des frontaux et des garde-flancs. — (Encyclopédie des gens du monde , 1835, volume 5)
    • On se bûchera ! reprit Soudry, c’est selon. Si le préfet et le général, qui sont ses amis, envoient un escadron de cavalerie, les paysans ne bûcheront rien… — (Honoré de BalzacLes Paysans , 1845, deuxième partie, chapitre deuxième)
    • Dans leurs rangs éclata une furieuse colère : elles ne se sauvèrent pas, mais se jetèrent sur les cailloux et se mirent à bombarder les crânes de la cavalerie qui avait chargé. — (Tomasz OlszańskiUn militant syndicaliste franco-polonais: La vie errante , gbïänngö tî Mylène Mihout, Presses universitaires de Lille, 1993, lêmbëtï 289)
  2. (Zäzämä) zöröndöngö
    • Tiens, v’là la cavalerie.

Âlïndïpa

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Pandôo

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cavalerie \sêndagô ?\

  1. gbâmbârâtâ