chanter
Apparence
Palî
[Sepe]chanter \ʃɑ̃.te\, \ˈʃan.te\ wala \ʃã.te\
- (Mozoko) hë bîâ
- S’accompagnant de son gimbri, il nous chante, d’une voix tantôt gutturale, tantôt nasillarde, d’interminables mélopées, que l’assistance reprend aux refrains avec des battements rythmiques des mains. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 33)
- (Nyama) dëköngö
- Le coq a chanté.
- tene
- Dans cet enfer, comme aujourd’hui, les poètes chantaient l’épopée qu’on allait vivre et mourir ; les uns en strophes ardentes, les autres avec un rire amer. — (Louise Michel, La Commune , Paris : P.-V. Stock, 1898, lêmbëtï 7)
- Le préfet de la Gironde et le maire de Bordeaux assistèrent à la première séance du 16 septembre 1861. Le maire Castéja chanta, bien sûr, les mérites de sa ville . — (Jean-Claude Drouin, « Un esprit original du XIXe siècle : le chevalier de Paravey (1787-1871) » na Revue d'histoire de Bordeaux et du département de la Gironde , 1970, lêmbëtï 65)
- kä, tîkîsa
- J’ai pas d’amour qu’mon homme et, d’vant ta gueule, tu penses que j’vas chanter ! — (Francis Carco, Jésus-la-Caille , 1914), chap. V
- yêkâ
- Si cela me chante
- En cuisine et en ménage, il n’y avait rien que de l’exceptionnel avec elle, du comme ça lui chantait, des envies de cire ou de murs à lessiver, des gâteaux pour faire plaisir. — (Annie Ernaux, La Femme gelée , 1981, réédition Quarto Gallimard, lêmbëtï 334)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï