charger
Apparence
Palî
[Sepe]charger \ʃaʁ.ʒe\
- yô
- Charger un cheval, un mulet.
- L’architecte a trop chargé ce mur.
- Ce bateau est chargé de vin, de sel.
- Vous vous chargez d’un fardeau beaucoup trop pesant.
- Charger un fagot sur ses épaules.
- Pendant que dans la grande cour de l'hôtel de la Poste on attelait les chevaux de la lourde diligence et qu'on chargeait les colis, les adieux vingt fois répétés étaient de part et d'autre comme une série d'arrachements. — (René Vallery-Radot, La vie de Pasteur , Hachette, 1900, Flammarion, 1941, lêmbëtï 16)
- Charger des marchandises sur un bateau, sur un navire ou dans un navire.
- (Zäzämä) wôko
- Charger un homme de coups.
- Charger quelqu’un.
- Elle charge à nouveau Bloomberg : « Nous sommes consternés que Bloomberg ne nous fournisse que des informations partielles, aucune documentation et une demi-journée pour répondre à ces nouvelles allégations », ce à quoi notre confrère affirme avoir laissé 24h à Supremicro. — (« Supermicro : Bloomberg affirme que des serveurs d'un opérateur américain ont été altérés » na Next INpact , 10 Ngberere 2018 → dîko mbëtï)
- (Zäzämä) kalamêe
- Charger quelqu’un d’un crime, d’une faute, etc.
- Ils ont voulu le charger de ce crime.
- Pourquoi me charger de vos sottises ?
- Se charger d’un crime, d’une faute, en prendre la responsabilité.
- (Mozën tî Angelëe) (Kebëek) sû mbëtïngêrë
- Ma carte de crédit n’a pas encore été chargée pour cet achat.
- vîin
- Charger une batterie.
- Charger un fourneau, un poêle.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï