chauffeur
Apparence
:
Pandôo
[Sepe]chauffeur \ʃoʊ.ˈfɝ\
- (Yöngö) sofëre
Pandôo
[Sepe]chauffeur \ʃo.fœʁ\ linô kôlï linô gâlï
- wagbötöngö-kutukutu, wakutukutu
- Parfois, il s’enfonçait subitement, se relevait, et Mademoiselle lançait au timonier ce regard dont on punit le chauffeur, en auto, qui n’a pas prévu un dos d’âne. — (Jean Giraudoux, Suzanne et le Pacifique , Grasset, 1967)
- Il était donc logique qu’en juillet 1958, je termine mon voyage de noce en ce haut lieu (châteaux de la Loire en 2 CV et guitoune de camping) avec pour chauffeur mon tout nouveau beau-frère, car je ne savais pas encore conduire. — (Gabriel Cohn-Bendit, Nous sommes en marche , Éditions Flammarion, 1999, lêmbëtï 112)
- (Könöngö) mâsa
- Un chauffeur de taxi âgé mange une sorte de flaque de jambon grise et triste comme la figure du premier ministre Bourassa sur Montréal-Matin. — (Réjean Ducharme, L’hiver de force , Gallimard, 1973)
- Il trônait à l’arrière de son magnifique torpédo Delaunay-Belleville que le chauffeur de service démarre lui aussi à la manivelle, mais sans effort et toujours du premier coup ! — (Anne Muratori-Philip, Jean-Claude Seven, 12 voitures qui ont changé l'Histoire , Pygmalion, 2012)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï