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choyer

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Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Palî

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choyer \ʃwa.je\ palî tî mbenze

  1. voro
    • Choyé par les siens, protégé par ses aînés, il avait conquis l’assurance, l’arrogance presque de ceux qui se sentent forts. — (« Une revanche » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Si tu le voyais, il est choyé comme un prince. Ils ne le nourrissent pas de regardelles, il a les lèvres et les doigts qui pèguent de sucre. — (Jean-Michel Thibaux, « La Fille de la garrigue » na Presses de la Cité, 1999, réédité sous le titre L'Appel de la garrigue , Presses de la Cité, 2015, chapitre 5)
    • Que répondre d’autre à cette femme qui avait été choyée, entourée… Qui n’avait certainement jamais su ce qu’étaient le besoin, les boulots permettant de gagner trois francs six sous puis la délinquance, la descente aux enfers… En dix ans, Clara avait tout connu ou presque. — (Carole Duplessy-RouséeLe Silence d'Amarine , éd. Pygmalion, 2014, chapitre 3)
    • Donc, il se choya, se dorlota et accepta les consolations qu’on lui donnait.. — (Gustave FlaubertMadame Bovary , 1857)

Âlïndïpa

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