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cierge

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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Un cierge.

cierge \sjɛʁʒ\ linô kôlï

  1. (Nzapä) yongôro buzïi
    • Art. 23. — Il est établi sur l’acide stéarique, et autres matières à l'état de bougies ou de cierges, un droit de consommation intérieure, fixé en principal à 25 fr. les 100 kilogrammes. — (« Séance du 30 décembre 1873 » na Annales de l'Assemblée nationale: Compte-rendu in extenso des séances , Paris : Journal Officiel, 1874, tome 28, lêmbëtï 666)
    • À travers les persiennes fermées, je regardais des pauvresses s’accroupir sur la pelouse, un cierge à la main, et marmotter des oraisons. — (« Mon oncle » na Octave MirbeauContes cruels )
    • Un sacristain s’introduisit par une petite porte ouverte dans l’autre aile du transept, alluma les cierges du maître-autel. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
    • Mon père se fendit de deux francs pour l’achat d’un cierge modèle « Pascal n° 8 », une pièce magnifique, aussi longue qu’un manche à balai et deux fois plus épaisse, du moins à la base. — (Jean L’HôteLa Communale , Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, lêmbëtï 175)
    • Voyez-vous, monsieur le Curé, vous êtes trop benoît : plus on demande, plus on reçoit. Vous devriez commander une provision de cierges de tout calibre qu’on allumerait devant le tabernacle ou la statue du Saint. Les deniers de l’Église en tireraient bénéfice et ce ne serait pas un mal. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • Elle avait brûlé deux cierges bénits, une douzaine de bougies et commencé une neuvaine, lorsqu’enfin le flux glaireux et nauséabond s’alentit. — (Jean RogissartMervale , 1937, Paris: Éditions Denoël, âlêmbëtï 27)

Âlïndïpa

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