clameur

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

clameur \kla.mœʁ\ linô gâlï

  1. gönngö
    • Le bruit dans l’intérieur du château, bruit occasionné par les apprêts de la défense, devint plus considérable, et se changea en tumulte et en clameurs de plus en plus assourdissantes. — (Walter ScottIvanhoé , traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
    • La clameur fut si forte et si unanimement vocifératrice, qu'il fallut, malgré le froid, ouvrir les portières, car on ne s'entendait plus. — (Octave Mirbeau, « Paysage d'hiver » na La vache tachetée , 1918)
    • La poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. — (Léo FerréPoètes..vos papiers! , 1956, Préface)
    • Quelle clameur justifiée une telle décision eût soulevée dans une démocratie où l'on avait le sentiment fondé que les classes riches étaient ménagées par le fisc! — (Joseph CaillauxMes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse , 1942)
    • (Zäzämä)Tous deux durent revenir trois fois dans la clameur des cuivres et s'incliner devant la rampe, face au public dont les bravos, du haut en bas de la salle, crépitaient sans faiblir. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
  2. (Zäzämä) zonga
    • Et voilà notre poissarde qui s'échauffe, emplit l'air de ses clameurs. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
  3. (Zäzämä) bïngö-vundü
    • Seule la clameur mondiale peut empêcher un génocide. — (Le Monde avec AFP, « De rares images des Awa, tribu isolée et menacée en Amazonie » na Le Monde , 23 Lengua 2019 → dîko mbëtï)
    • La clameur publique, L’indignation publique, manifestée de quelque manière que ce soit.

Âlïndïpa[Sepe]