clochard

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Un clochard à Paris.

clochard \klɔ.ʃaʁ\

  1. (Na sïönî nî) wayërë
    • Qu’est-ce qu’elle faisait de mal, la pauvre bougresse, pour qu'on la... Vingt dieux ! ça doit venir d'un des clochards qu’elle fréquentait. Ou d’un des hommes-sandwiches… Pourtant, y avait pas de raison qu’ils la tuent. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
    • Il avait cependant assisté […] à une rafle sur les quais de tous les mendigots et clochards qu’une brigade de flics avait cernés. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 79)
    • - J’ai horreur des clochards, ils sont répugnants et ils ont le cerveau tellement ramolli qu’ils ne respectent plus rien.
      Modèle:petites capitales - En tous cas vous lui avez sucré son envie de toucher les cailloux...
      Modèle:petites capitales - Et à moi mon envie de vous acheter quoi que ce soit… Vous correspondez trop bien à votre propre description du clochard. — (Lewis Trondheim, Pichenettes, 1995)
    • L’hiver 1953-1954 fut particulièrement rude. Des clochards moururent de froid, ainsi qu’un enfant dans une famille mal logée. — (Bertrand Marchand, Paris, histoire d’une ville XIXe-XXe siècle , Éditions du Seuil, 1993, lêmbëtï 279)
    • De même, en marge de la société, le clochard n’en est pas moins touché d’une certaine façon par la grâce. Peut-être d’ailleurs quittera-t-il le purgatoire terrestre pour le paradis, le jour du grand départ. C'est en tout cas ce que veut croire Bruant non sans une pointe d’ironie lorsqu’il achève son premier recueil par la mort du grelotteux : […]. — (Solange Vernois, « La souffrance sociale dans les chansons d’Aristide Bruant illustrées par Steinlen » na Histoires de la souffrance sociale : XVIIe-XXe siècles , sous la direction de Frédéric Chauvaud, Presses universitaires de Rennes, 2007, lêmbëtï 57)

Âlïndïpa[Sepe]