cognée
Apparence
Pandôo
[Sepe]cognée \kɔ.ɲe\ linô gâlï
- (Mbäkôro) dö
- […] ; on entendait gronder des forges, et les coups de la cognée faisaient, pour la dernière fois, mugir des échos expirant eux-mêmes avec les arbres qui leur servaient d’asile. — (François-René de Chateaubriand, Atala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
- Le géant se courbe et chancelle comme un chêne sous la cognée du bûcheron… — (Walter Scott, Ivanhoé , gbïänngö tî Alexandre Dumas, 1820)
- – Puisque tu as voulu revenir ici, il faut te mettre à travailler. Il y a justement du bois à fendre dans la cour.
La sœur, qui était nerveuse, se mit à crier alors :
– Ne lui mets pas de cognée en main, mon père ! ne lui mets pas de cognée en main ! — (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville , 1910, réédition Plein Chant, lêmbëtï 126) - Au milieu de la nuit, soudain, je m’éveillais, la poitrine ravagée par une toux violente qui déchirait ma gorge et ma trachée, semblant s’enfoncer de plus en plus profondément en moi, comme un coin ou une cognée. — (Michel Leiris, L’Âge d’homme , 1939, collection Folio, lêmbëtï 64)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine