courage

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Angelë[Sepe]

Pandôo [Sepe]

courage \ˈkʌɹ.ɪdʒ\ wala \ˈkɝ.ɹɪdʒ\

  1. kpëngbä-bê

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

courage \ku.ʁaʒ\ linô kôlï

  1. kpëngbä-bê
    • Le courage, ce nest pas de laisser aux mains de la force la solution des conflits que la raison peut résoudre ; car le courage est l'exaltation de l'homme et ceci en est l'abdication. Le courage pour vous tous, courage de toutes les heures, c'est de supporter sans fléchir les épreuves de tout ordre, physiques et morales, que prodigue la vie. Le courage, c'est de ne pas livrer sa volonté au hasard des impressions et des forces ; c'est de garder dans les lassitudes inévitables, l'habitude du travail et de l'action. — (Jean JaurèsDiscours à la jeunesse , Albi, 1903 → dîko mbëtï)
    • Ce ne sont pas des considérations sur l’harmonie de l’Univers (même en personnifiant l’Univers), qui pourront donner aux hommes ce courage que Renan comparait à celui que possède le soldat montant à l’assaut. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, VII « La morale des producteurs », lêmbëtï 332)
    • Acceptons que le courage militaire demeure l'apanage d'une caste enfantine et bruyante, et ne se répande pas, comme l'a fait la Légion d’honneur, son insigne, parmi les professeurs, les contrôleurs, les peintres... — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
  2. kängängö-bê

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï