croire
Apparence
Palî
[Sepe]- mä, mä na bê
- Je crois que les disputes théologiques sont à la fois la farce la plus ridicule et le fléau le plus affreux de la terre, immédiatement après la guerre, la peste, la famine et la vérole. — (« Credo » na Abbé de Saint-Pierre, cité par Voltaire, Dictionnaire philosophique )
- Le plus souvent des observations ultérieures permettent de rectifier les erreurs d'un premier résultat : c'est ainsi qu'on avait cru d'abord que Nysa devait couper l'orbite de Mars, tandis qu elle est toujours à 15 millions de lieues au moins au-dessus de cette planète. — (G. Lespiault, « Note sur les petites planètes situées entre Mars et Jupiter » na Mémoires de la Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux , 1861, tome 2, lêmbëtï 180)
- — J’hallucine, dit Colette. [—]. Quand je raconterai ça aux copines, elles ne voudront jamais me croire.
— Portenawaque, estima Coline en son obscur langage. — (Bernard Suisse, Motus et babouches cousues , Éditions Le Manuscrit, 2005, lêmbëtï 147)
- (Wapolïpa) bânza
- Des landes, des rocs stériles, çà et là une bande de pâturage aromatique et dru, quelques champs pierreux, partout des oliviers : on se croirait dans notre Provence. — (Hippolyte Taine, Voyage en Italie , 1866, volume 2)
Pandôo
[Sepe]croire \kʁwaʁ\ wala \kʁwɑːʁ\ linô kôlï
- mäbê
- N’assiste-t-on pas, durant les années 1960, comme le croit le philosophe Marcel Gauchet, à une « révolution du croire »? Les attentes spirituelles disparaissent-elles ou sont-elles investies ailleurs? — (Éric Bédard, Recours aux sources , Montréal, Boréal, 2011, lêmbëtï 143)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï