Yângâ tî Farânzi

Pandôo

culotte \ky.lɔt\ linô gâlï

(Mbäkôro) (Bongö) kilôti/kïlôti
- On rencontre encore des hommes coiffés du bonnet rayé bleu et rouge, vêtu de vadmel avec les bas de laine grise, la culotte courte à trois boutons et les espadrilles en peau de mouton. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland , 1928)
- Le costume des femmes est d’un éclat tout asiatique ; il se compose d’une culotte bouffante, serrée à la cheville, d’un boléro très ouvert qui laisse la poitrine libre dans la mince étoffe. — (Pierre Louÿs, « Lesbos aujourd’hui (1901) » na Archipel , 1932)
- Un jeune homme portait des culottes longues trop courtes.
  Il s'approche et me dit : – « Qu'est-ce que vous avez à me regarder comme ça ? »
  Je réponds :
  – Je croyais que vous aviez des culottes courtes trop longues.
  Il paraît que c'était le comble de l'insolence.
  C’était le comble de l'innocence. — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 270)
- Par exemple, un catalogue L.L. Bean (printemps 1991 : 32) montre une jeune femme photographiée dans un cadre campagnard, bicyclette à ses côtés; celle-ci porte des culottes courtes, un gaminet et une « veste guatémaltèque tissée à la main ». — (Anthropologie et sociétés , Département d'anthropologie, Université Laval, 1994, volume 18, lêmbëtï 106)
(Bongö) gbebongö, kalesöon, bandë
- Elle portait un soutien-gorge bordeaux dont la culotte était légèrement garnie de dentelle.

Âlïndïpa

Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï