défraîchi

Yângâ tî Farânzi

Pasûndâ

défraîchi \de.fʁɛ.ʃi\

1. vürüngö
   • Il habitait un vieil hôtel particulier qui était maintenant assez défraîchi.
   • Ils arriveront vers onze heures, comme à Paris, et nous serons déjà défraîchies de danser. — ( Willy [Henry Gauthier-Villars] et Sidonie-Gabrielle Colette, Claudine à l’école , réédition Le Livre de Poche, 1900, page 242)
   • L’année où il achevait son doctorat en droit à Bordeaux, il avait connu cette fille déjà défraîchie, à peine moins âgée que lui, dont il subissait le pouvoir sans en chercher la raison. — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac , 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 37)
   • Rien ne subsistait plus, aux yeux de Janine, qu’un mâle déjà un peu défraîchi, enclin à préférer l’alcool à tout le reste et à considérer l’amour comme un travail, un devoir, une fatigue… Quelle misère !— (François Mauriac, Le Nœud de vipères , Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 157)
   • 31 janvier 1941 – Flora a seize ans, il n’y a pas péril en la demeure. Mais moi je serai une femme sans avoir été une jeune fille, défraîchie sans avoir fleuri, comme ces boutons de camélia malade qui se fanent encore fermés, clos sur un secret que personne ne déchiffrera. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains , Denoël, 1962, lêmbëtï 138)

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine